« Au final, à
tant vouloir lutter contre nos propres démons, on finit par perdre, ou pire
encore : en accepter l’idée.
Non, ce n’était pas
un accident, toutes ces cicatrices et ces hématomes qui courent sur ma peau.
Certains fardeaux n’appartiennent pas au monde des Hommes. Vous ne connaitrez
sans doute jamais la lassitude de flirter avec les limites, quand les idées et
l’espoir prennent feu dans le royaume des cendres.
Aujourd’hui encore,
je réalise que ce sont tous ces « et si… » qui font le plus de mal.
Je ne sais pas
vivre, personne n’est à blâmer pour cela. Ce soir, ce ne sont pas des adieux
que je vous écris, simplement un au revoir. D’une manière ou d’une autre, nous
nous reverrons.
Quelque part ou
ailleurs.
A vous. »
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