samedi 2 septembre 2006

Dans 6 jours..

Ca fera un mois que t'es plus là.
Un mois que j'ai passé à pleurer.
Je te cherche, je n'ose pas rentrer chez moi en sachant que je ne te verrai pas.
Putain, c'est trop dur.Désolé de t'avoir volé quelques moments de ta vie.
T'es partie trop tôt bordel. Beaucoup trop tôt. J'étais pas prêt.

samedi 12 août 2006

Articles en vrac...

J'préviens de suite: J'vais pas écrire 3-4 articles maintenant. Alors j'en fais un seul et je mets tout dedans ok ?

Pendant les vacances à Venise, j'ai trouvé un beau coucher de soleil...

Sinon, dédicace pour Jeepster: J'ai retrouvé mes RayBan ! Du coup les voilà et pour toi j'ai mis le T-shirt Nirvana ! Heureuse ? xDAutrement, je vais bientôt sortir une nouvelle série qui va s'intituler: Le Geek De La Nuit.
Je vous ferai découvrire le prologue d'ici peu dans un futur article.

jeudi 10 août 2006

Mélancolie, Ô ma reine.

Au pays de la mélancolie j'décide d'être une larme.

Fatigué, à bout de souffle, il y a des images qui me hantent, des bruits étranges pourtant si familiers. Je me souviens, pas assez grand pour être mélancolique, mais assez grand pour la nostalgie. Un sentiment de voir et entendre les choses, comme dans le passé, comme un envie de pleurer, ou un mal moral sans fond. Pourtant dans ce gouffre, je suis accroché et je monte et je monte… Sauf que sur le chemin il y aurait des rochers qui tomberaient et m’entraînent avec eux au fond. L’eau coule dans le trou bientôt il sera impossible de respirer, il faut sortir la tête du fond, se réveiller.

Mais oui, il faut se réveiller ! ‘Paraît que je suis très mélancolique, que c’est mal. La mélancolie est « un état de dépression grave » comme on aime le dire. Moi je crois pas, il n’en est rien. Et pourtant.

Y’a bien des choses que je regrettes, des choses que j’aurai dû faire, des choses que je n’aurai pas dû faire. C’est dur, ici, c’est pas comme un film, la vie. On a appuyé sur « play » dans mon lecteur et je suis arrivé. Je vous ai regardé avec des yeux étonnés, parfois surpris. J’ai grandit dans le bonheur, j’ai fréquenté l’épanouissement. Bientôt, j’ai rencontré la force physique, puis l’intelligence. L’intelligence m’a dit que ce n’était pas utile de frapper et que les mots font plus mal que la violence. Au début j’avais pas compris, mais l’intelligence m’a envoyé voir les sentiments. Alors j’ai rencontré quelque chose de féerique, une sorte de bonheur à double tranchant, la psychologie. Quand tu apprends à la contrôler, tu es une personne bien, mais si tu pense trop, la psychologie te ronge grâce aux sentiments.

Les sentiments me rongent, doucement, y’a la mélancolie, qui hiberne et qui se réveille parfois, y’a aussi la tristesse qui suit la mélancolie. Des fois il y a la joie, qui vient dans mon cœur comme un soleil en automne, qui vient dorer les feuilles des arbres et réchauffe.

J’ai également vu la trahison sonner à ma porte, le jour ou j’ai entendu « Salut je ne t’aime plus. » Faut pas oublier la haine et la rancunes, c’est des frères qui restent au fond de vous en mangeant tout ce que vous accumulez et qui grossissent. Un jour, ils sont très fort et sortent de toi, tu perds la maîtrise de toi, tu hurles tu casses tout et y’a des gens qui sont là pour être tes victimes. Après cet élan de colère, la haine et la rancune sont de nouveau petit et s’endorment en attendant de pouvoir se mettre quelque chose sous la dent.

Je vis avec tout ce monde bien ancrés dans ma tête. Ils sont là. Ils se servent de moi pour agir, comme un pantin. Mais après tout, c’est moi qui les contrôle et alors, alors je peux les tuer si je veux. Heureusement, la volonté et la franchise étaient arrivées très tôt dans ma vie. Toujours là pour passer à l’action.

Je filtre tellement d’évènements dans ma tête que j’en fini épuisé. Et je suis encore jeune.

samedi 5 août 2006

Parce que, dans le noir...un soleil noir.

Y'a rien à faire quand on est seul sur Terre...Je me souviens de mes frères hispaniques, ne les oublie jamais car moi, je ne t'oublie pas.


Allez quoi, boude pas...Il te reste mon amitié.Des yeux couleur colère, beaucoup pleurer pour mieux se taire.
J'fais un break, j'fume ma dernière clope et je retourne chez les putains.
Il fait noir dans ma tête, mais quelque chose brille en moi et m'empêche de renoncer.
Hey, baby, si tu veux une photo dédicacée, c'est par ici.

mercredi 26 juillet 2006

Pour Toi, La Marche Du Monde.

Le soleil immortel s’en est allé
De ma fenêtre, juste pour te contempler
De là-haut, le ciel, nous matraque de pleurs
Les étoiles contemplent le ciel et ses mœurs
Les bras croisés, t’as entendu mes pas
Et je suis tristement venu vers toi
Pour entendre que c’était notre petite mort
Princesse prends ma veste, il fait froid dehors
Nul part où se cacher, se protéger
De ton sourire marqué et ta beauté

Ce soir la lune veut te faire oublier
Que nous sommes bien trop dur à séparer
Les flocons tombent tel un tapis de laine
Mais ou sont les étoiles qui ont la haine
Et leur lutte contre l’extinction du bas monde
Mon corps brisé par la douleur immonde
De ne plus jamais te revoir marcher
De ne plus te toucher et t’embrasser
Tu tentes de réparer mon cœur briséC’est la bonne soirée pour laisser tomber

mardi 25 juillet 2006

Les gens te regardent et tu les emmerde.

Tu dois connaître, cette impression d'être regardé, observé, parfois chassé ou traqué.
Souvent, cela ne me fait rien, rarement, ça me choque et je me sens hors de moi. Je veux te parler de comment les gens te regardent et ce qu'ils pensent de toi, comme le monde te juge, à tort...

Qu'on se le dise: Les mots font plus mal que les armes. Tu sais, c'est dur de te perdre comme ça, sans avertissements. Nous nous sommes "rencontrés" alors que nous n'avions qu'un an, plus rien de nous a séparé. Plus rien. Mais aujourd'hui, la mort a eu raison de toi, autant te dire comme c'est dur.
Non, je ne me plaindrai plus, comme promis.
Comme promis, j'ai été fort, là ou les gens sont faibles.
J'ai caché mon jeu, si bien que je ne le retrouve plus.
Je ne pleure plus, depuis si longtemps. Pourquoi ? Je ne suis pas si dur !
Je suis plutôt une personne sensible comme tu le sais si bien. Si bien.

Quand je suis venu te voir, il y avait plein de gens, j'étais pas tranquile.
Qui c'était, ces gars chelou, ceux qui pleuraient ? J'avais reconnu Mark et Delphine, moi, j'étais là. Debout, dans le hall d'entrée, le vent me poussait à l'intérieur.

L'ambiance était glaciale, aussi pétrifiante que la vague qui m'a traversé quand je t'ai vu pour la dernière fois.
Quand on m'a annoncé ce qui t'était arrivé, j'avais ressenti la même chose, en plus fort, cette même vague m'avait jetté au sol - et crois-moi si ça fait mal de tomber avec les rotules sur le carelage -. Tes parents m'ont laissé monter dans ta chambre, encore. Ils savaient pour toi et moi, de toute façon.
Bref, tu sais, dans la pièce, les gens me regardaient, mes yeux noirs, aucune trace de larmes, les joues rougies par le mois d'Octobre.

Pour les gens, quand on est triste, on pleure. On pleure. Mais c'est quoi pleurer ?
Ces gens ne connaissent pas d'autre formes de tristesse. Mais que ressentent-ils ? Ma tristesse est intérieure, me brûle la peau, me pique le ventre et m'interdit la concentration.

Le premier homme m'a regardé, droit dans les yeux, comme j'aime.
Sa bouche se crispa soudain, il baissa un peu la tête et fit un léger "non" de la tête. Moi, j'ai avancé d'un pas. Il m'avait défiguré du regard...

Le deuxième homme était assis. Je crois que c'était ton oncle.
Il me considéra puis me dit: Tu ne pleures pas ?
Je suis dit froidement: Non. Alors il me répondit que je n'avais rien à faire ici.

Tu vois comme c'est, les gens. C'est bête et méchant. Ca te dis bonjour au coin de la rue et te poignarde dans un tunnel.

J'ai l'air dur, de l'extérieur, mon style, mon caractère, mais chaque personne a une sensibilité, chacun est différent. Moi, je sais que je suis triste, quand je pense à de vieux souvenirs, quand je ne peux plus dormir, quand je n'ai plus faim, mon coeur bat vite, la respiration est forte...

Ces regards puissants qui me visent et ont pour but de m'abattre font des gens, une armée redoutable. Bien sûr, la plupart de ces fantassins ne sont pas bons, aucun ne me blesse. En revanche, parfois, leurs mots me traversent et laissent des traces indélébiles: La haine et la rancune.

Ajoutez à ces agressions le fait d'être handicapé - C'est une autre histoire - et vous obtenez de moi une cible idéale. Faible, jeune et naïve.

Le problème est que je suis l'opposé de cela.
Avant tout, je suis un battant, dynamique et loin d'être naïf. Les gens se ruent sur moi mais tombent sur plus fort qu'eux. Les soldats ne s'attendaient pas à de la résistance...Oh non. Mais au fil des assauts, je me suis endurci, encore et toujours.

Toujours, jusqu'a aujourd'hui.
Je suis un jeune mutilé par les mots, détruit par les regards, pillé par la cruauté.

Juste besoin de vider ma tête, j’espère que c’était pas trop chiant à lire et que vous partagez mon point de vue…
Merci.-Druide-

vendredi 5 mai 2006

Avec une lenteur soporifique, je rampe, de l'ombre à la lumière, je rampe...tous les jours un peu plus près...

mardi 2 mai 2006

Clochette


Oh, dans l'herbe, des clochettes violettes...On dirait qu'elles ont envie de papotter...Je dois rêver.

samedi 29 avril 2006

La dévoreuse

Dans son coin, l'araignée patiente, elle attend sa victime. Dans le noir, elle tisse une toile mortelle qui surprendra plus d'un être.
Mon coeur palpite, lentement, elle bouge ses pattes puis se jette sur sa toile. Elle se prépare à dévorer de la chair, cruelle, sadique, l'araignée ne tolère aucune erreur...
Méfiez-vous des araignées...

dimanche 9 avril 2006

Qui je suis...

Mais, qui suis-je ?

Si j'avais à me décrire, je parlerais de la tige d'une fleur; fin, svelte, à qui on ne donne pas le premier rôle, rôle qui est prit par la fleur. Je parlerai d'un poête anarchiste, d'une personne discrète, engagée, qui à la rage, beaucoup de rigueur et de discipline. J'aime être organisé, savoir quoi faire à quel moment, sans pour autant me laisser dompter par le temps. Je ne suis pas l'esclave de la montre, je suis son allié. Je suis la personne à qui on parle, mais dont on ne se souvient pas. Je suis observateur, passioné par le monde qui entoure l'homme. Jamais je n'oublierai mes racines, la péninsule Ibérique. Le nord, là ou il fait toujours froid. Ces villages en campagnes, avec encore des enclos en bois rongé par les lavres - comme on n'en fait plus-, ces maisons de pierre, froide et protectrices...Je ne dois pas m'étaler à ce sujet non plus, je vous raconterai cela plus tard.

Je suis ce que l'on nomme péjorativement un fêtard, être dansant à tout bout de champs, avec n'importe qui, je suis très ouvert, passioné de rencontre et de communication. J'aime la fête, le calme, l'agitation, les manifestations. Je n'aime pas les courses automobile, les braconiers, les gens qui critiquent avant même de connaître.

Je hais les racistes, la viande, le poisson, la cigarette, les gens qui regardent les jeunes avec un regard obscur.
Vous m'avez déjà vu sur les quelques photos précédentes, et avez vu ce que je fais en dessin.
Vous connaissez plus moi que moi vous, mais me connaissez-vous à moitié moins de ce que vous croyez, ou connais-je plus de la moitié que vous croyez vous connaître ?
Mais ça, c'est une autre affaire...