Et ce gros dégueulasse lui passe les mains sur ses épaules dénudées. Il est dégoulinant de désir, comme un chien devant un os, ça en devient pathétique. On ne peut pas dire qu'elle était moche, elle n'était cependant pas attirante. L'odeur de clope imprégnée dans sa peau, ses quelques boutons disgracieux sur le visage ou encore les relents d'alcools bon marché faisaient de cette fille facile une véritable épave.
Ca, il l'avait bien compris.
Commandant un énième whiskey au bar, il ne manqua pas de soulever sa jupe devant les clients avachis sur les tables derrière lui. Elle ne semblait pourtant qu'à moitié gênée.
"Quelle pute..." me dis-je en terminant mon verre de bière presque tempéré.
Et ils se mirent à fumer une cigarette à l'intérieur, se partageant le même mégot. Un mince filet de salive restait parfois accroché tandis qu'ils se partageaient la clope.
samedi 5 décembre 2015
mardi 29 septembre 2015
La vie, cette pute.
Je ne sais pas. Je crois que je n'ai jamais su, d'ailleurs. Ce feu qui ne s'est jamais allumé dans mon coeur, ces étincelles de givre et les tessons de verre sous la peau sont tous des traitres. Mes rêves sont intagibles, je les imagine, les vois parfois mais jamais il ne m'est possible de les toucher. La vérité, c'est que dans ces années de discours brouillons et tellement adolescents, ce gouffre entre les idées folles, la magie noire dans ma tête et la déception du quotidien me ravagent l'esprit.
La vie, cette pute. C'est bien pour ça qu'on l'aime.
Comme une publicité mensongère. Promettre ce que l'on ne peut offrir, échanger ces merveilles pour des cendres froides avec le sentiment profond qu'on te la met.
La vie, cette pute. C'est bien pour ça qu'on l'aime.
Comme une publicité mensongère. Promettre ce que l'on ne peut offrir, échanger ces merveilles pour des cendres froides avec le sentiment profond qu'on te la met.
dimanche 2 août 2015
I used to think...
Si ma peine était si grande, c'est que mes pensées étaient trop longues. Dans l'ombre d'une adolescence dérobée, je n'espérais plus mes vingt ans. De déceptions en désillusions, les larmes s'évacuent sur le visage sévère.
Et plus le coeur est grand, plus la blessure saigne. Les réussites et les reconnaissances ont un goût de fer, ne cicatrisent que les plaies en surface, tandis que sous les orages, les idées noires torturent les esprits ravagés...
Et plus le coeur est grand, plus la blessure saigne. Les réussites et les reconnaissances ont un goût de fer, ne cicatrisent que les plaies en surface, tandis que sous les orages, les idées noires torturent les esprits ravagés...
lundi 29 juin 2015
Dévotion
C'était comme un goût de cendres dans la bouche, cet instant où tu ne me regardais pas. Comme une fête qui tourne mal, un clown sous Xanax, un peu comme boire un verre d'essence, je suppose.
Dans la plate tranquillité de ces futiles artifices, j'ai senti quelque chose se dérober en moi. Pendant ce laps de temps, je ne savais plus trouver le chemin.
Et dans le cœur, et sous la cendre des os, dans la pénombre et les souffles chauds, je garde en moi ton image, quand ton nez saignait inlassablement.
Dans la plate tranquillité de ces futiles artifices, j'ai senti quelque chose se dérober en moi. Pendant ce laps de temps, je ne savais plus trouver le chemin.
Et dans le cœur, et sous la cendre des os, dans la pénombre et les souffles chauds, je garde en moi ton image, quand ton nez saignait inlassablement.
lundi 22 juin 2015
About Rituals
Dans la moiteur de la nuit sans lune, il répète ces mots
"Chat sans queue, voilà mon offrande de chair
Que je remets à ton visage amer"
Indomptable prêcheur, il répète ses maux
L'horreur se répand en larges hématomes hurlants
Les pieds sur les tessons de verre, au fond des eaux endormies
Il ne pleurera pas ses larmes, dans le silence de la nuit
Quand le sang se verse, dans le long couloir brûlant
Coule alors au fond de la gorge ces râles oppressants
Chantant le retour des esprits ravagés
Présageant la folle liberté d'une lame ensorcelée
Et ces longs moments d'agonie, comme un sacrifice enivrant
Voilà affront qu'on ne peut faire
Révéler les réponses qu'il faut taire
Le Bouc se fâche, alerte la colère du Maître Gibier
Le garçon, d'une flèche au poitrail ne pourra plus crier.
"Chat sans queue, voilà mon offrande de chair
Que je remets à ton visage amer"
Indomptable prêcheur, il répète ses maux
L'horreur se répand en larges hématomes hurlants
Les pieds sur les tessons de verre, au fond des eaux endormies
Il ne pleurera pas ses larmes, dans le silence de la nuit
Quand le sang se verse, dans le long couloir brûlant
Coule alors au fond de la gorge ces râles oppressants
Chantant le retour des esprits ravagés
Présageant la folle liberté d'une lame ensorcelée
Et ces longs moments d'agonie, comme un sacrifice enivrant
Voilà affront qu'on ne peut faire
Révéler les réponses qu'il faut taire
Le Bouc se fâche, alerte la colère du Maître Gibier
Le garçon, d'une flèche au poitrail ne pourra plus crier.
samedi 13 juin 2015
Je me suis caché derrière les mots, derrières toutes ces feuilles de papier. J'ai laissé les lumières passer au-dessus de moi sans jamais me soupçonner, m'abreuvant des alcools et des nuits de stress. Mais les pensées dépassent la vie et nos regards braqués sur les fantômes du passés ne servent plus à rien désormais.
lundi 25 mai 2015
Mes yeux sont devenus rouges, mes nuits se sont rallongées, à ne plus savoir qui j'étais, ce que je devais faire.
Ce doit être en partie pour cette raison que je suis parti. Plus rien ne me retenait vraiment, alors c'était le bon moment. Tous les jours au bord des larmes, les cicatrices brûlent encore à chaque fois. Je n'avais rien à perdre que de m'en aller...
Ce doit être en partie pour cette raison que je suis parti. Plus rien ne me retenait vraiment, alors c'était le bon moment. Tous les jours au bord des larmes, les cicatrices brûlent encore à chaque fois. Je n'avais rien à perdre que de m'en aller...
dimanche 10 mai 2015
Les poussières sur les esquisses
Tu me dessines quand je m'efface, on se retrouve face à face, l'indélébile sur les mains qui se serrent en poing, qui se serrent en vain. On se complémentarise, on se vantardise, qu'on est beaux, qu'on est cons, qu'on s'en moque quand on s'ivresse.
Y'a des douleurs, y'a des remords, autant de peines et puis de pleurs, on s'en souvient, on s'envenime, on ne sent rien quand on s'anime. Quand je m'efface, quand je me crasse, toi t'es là pour pas que je trace, de peur de me voir repartir, comme un oiseau, comme un martyr, vers des horizons plus chaud, plus près des braises de nos idéaux, juste là tout près d'une autre de mes galaxies...
Y'a des douleurs, y'a des remords, autant de peines et puis de pleurs, on s'en souvient, on s'envenime, on ne sent rien quand on s'anime. Quand je m'efface, quand je me crasse, toi t'es là pour pas que je trace, de peur de me voir repartir, comme un oiseau, comme un martyr, vers des horizons plus chaud, plus près des braises de nos idéaux, juste là tout près d'une autre de mes galaxies...
samedi 9 mai 2015
Au temps des pluies et des regards tristes
Au détour d'un soupir, ne pas regarder en arrière et s'en aller. Ne plus exister, la conscience salie par l'ombre d'un "moi" qui ne veut rien dire...
dimanche 3 mai 2015
Le Fardeau de la Conscience
Elle a, pour ma
part, engendré une grande souffrance. Un combat de tous les jours, un pari que
l’on subit, un défi sans panache, une addiction dégueulasse, un abonnement que
l’on ne peut plus jamais résilier. Cette peine n’est pas la même pour tout le
monde, non. Elle n’est pas équitable, ne propose pas de symétrie. Chaque
histoire est unique, chaque vie est un livre gorgé de larmes, une éponge qui
efface les souvenirs tenaces.
Alors dans le
noir de la chambre, le visage éclairé par la lueur froide de l’écran, j’écris.
Quand on est petit et qu’on change, on dit qu’on grandit. Lorsque cela arrive à
un adulte, on dit qu’il change. On oublie souvent de dire que ces changements
sont douloureux, qu’ils laissent en nous des marques indélébiles. Que l’enfant
intérieur se cogne la tête, emprisonné dans les cloisons, qu’il se mutile et qu’il
étouffe, qu’il ne rêve pas mais cauchemarde, qu’il cauchemarde d’une évasion
certaine. Pour cet enfant, s’évader, c’est se soustraire, se perdre, se
supprimer.
Dans ma tête ne
résonne qu’un étrange silence. Les images de mon enfance se sont fanées, ont
dépérit. On me les a volée. Grandir, c’est prendre conscience de. Prendre conscience
qu’on grandit, justement. Changer, c’est le même principe. Le changement, c’est
se réveiller un matin, se sentir juste un brin bizarre, ne plus avoir d’envie
de quoi que ce soit. On se met à réfléchir et on comprend vite, mais il est
déjà trop tard, le processus est enclenché.
Et donc, dans ce
nuage de pensées évasives, j’ai drôlement changé. Pas grandi, seulement changé.
L’enfant intérieur est mort, flingué par tous ces mensonges sur les rapports
sociaux, étranglé par une simplicité de surface. Avoir le courage de le lui
dire. Se frotter aux rencontres, se jeter à l’eau. On nous a fait croire que c’est
un jeu, que les risques ne sont pas un facteur à prendre en compte. Peut-être
qu’il y a une maigre part de vérité, mais je ne suis pas stupide et vos idylles
ne m’intéressent pas. La vérité, c’est celle de cette mère fatiguée d’élever
seule ses deux enfants, fatiguée de trouver des prétextes, des excuses, elle
qui n’en peut plus de feindre un sourire et de prétendre que tout va bien. C’est
celle de cet homme qui n’a plus le droit de voir ses gosses grandir, qui noie
ses peines au fond d’un verre, qui n’ose plus s’engager. Et c’est aussi ce fils
survivant du divorce, qui insulte sa nouvelle mère, qui se révolte violemment
car il n’a pas les mots pour exprimer son gouffre affectif.
Les gens enfouissent leurs sentiment le
plus profond possible, ils gardent de lourds secrets, parfois toute une vie. Je
fais partie de ceux qui restent silencieux, de ceux qui ne s’en sortent pas, de
ceux qui se noient sans faire de vague, dans le calme. Ceux qui masquent les
pleurs sous le vent, dans le bruit des feuilles des longues soirées d’automne,
ceux qui se fondent et se glissent dans la banalité du quotidien.
Le plus dur, c’est de vivre avec.
jeudi 9 avril 2015
Fin de nuit...
A tes nuits blanches et à mes idées noires
Au travers des regards et de leurs vents mordants
Tu sais ça me crève le cœur, tes larmes au premier rang
A à nos quatre planches et puis à nos déboires
A toi le gamin perdu dans les stupides ivresses
A tes tristes espoirs envolés loin, noyés à la rivière
Et même si c'est beau d'y croire, le sang retourne à la terre
Aux regrets des silences, aux mots dits, aux caresses...
Au travers des regards et de leurs vents mordants
Tu sais ça me crève le cœur, tes larmes au premier rang
A à nos quatre planches et puis à nos déboires
A toi le gamin perdu dans les stupides ivresses
A tes tristes espoirs envolés loin, noyés à la rivière
Et même si c'est beau d'y croire, le sang retourne à la terre
Aux regrets des silences, aux mots dits, aux caresses...
mardi 7 avril 2015
Voyageurs
Dans le temple des nuits, dans le profond des insomnies, quand la pupille se dilate et que le tic tac du temps qui passe ne cesse de résonner, c'est de ces impossibles dans ton regard, les désespoirs à tes yeux humides, que je suis las.
Et les jours ne sont pas éternels, et les nuits ne portent pas que de bons conseils, alors à quoi bon ? Viens, on va se faire la malle, retrouve-moi plus loin, à se perdre pour toujours, se perdre pour de bon. Je serai ton pays, tu seras ma capitale, et de ces ébauches magnifiques, nous ferons de rois, nous ferons des reines.
Il suffirait simplement d'y croire, un peu plus. Allez, pose ta clope et tais-toi, allez viens, allez, on s'en va...
Et les jours ne sont pas éternels, et les nuits ne portent pas que de bons conseils, alors à quoi bon ? Viens, on va se faire la malle, retrouve-moi plus loin, à se perdre pour toujours, se perdre pour de bon. Je serai ton pays, tu seras ma capitale, et de ces ébauches magnifiques, nous ferons de rois, nous ferons des reines.
Il suffirait simplement d'y croire, un peu plus. Allez, pose ta clope et tais-toi, allez viens, allez, on s'en va...
mercredi 18 mars 2015
Aux idées mortes d'un autre jour...
Ça fait des jours que je ne
dors pas, que mon regard est éteint, que ma tête pèse des tonnes et que ma
mâchoire ne veut plus s’articuler. Je ne sais pas quand était mon dernier
repas, mais j’ai froid, le ventre qui se serre et de toute manière, je n’ai pas
vraiment faim. Si j’ai un problème, c’est que j’arrive à peine à réfléchir. Il
y a toutes les pensées du monde qui s’entassent et se bousculent dans ma tête
et ça fait bien trop longtemps. Qu’on vienne me dire que je suis ravagé,
complètement déchiré de l’intérieur, ça ne m’étonnerai pas. C’est peu probable
que tu comprennes ce que j’essaie de te montrer, faut bien avouer que je ne
sais pas l’exprimer. Et puis j’ai peur, simplement peur de te dire les
mauvaises choses, t’envoyer des messages de travers, de me découvrir une
pathologie, d’être complètement fou, un colérique sans limites et sans
contrôle, d’être un orage dans le ciel des autres, de t’écarter de moi, de ne
pas tenir les regards, de perdre mon peu de souvenirs, m’effondrer comme un
con, de ne pas savoir, mais savoir que ça va durer encore une petite éternité…
Ici, il n’y a rien d’autre
à foutre à part marcher. La neige tombe à faire pâlir le soleil et moi,
j’avance. Y’a toutes ces rues, ces noms, toutes ces images qui filent dans ma
tête. Je me déconstruis. C’est une course poursuite de tous les jours, avec
cette certitude qu’on ne gagnera jamais. La lumière est là pour se braquer sur
ce bourré qui gueule, sur cette gamine coincée entre ses parents qui en savent
rien faire que de tout se cracher à la figure. Et l’autre aussi, lui qui pousse
un chariot, qui sait pas où dormir et moi, un peu paumé dans cette
semi-pénombre, qui rentre dans un café.
Mon stylo écrit à blanc mes
idées mortes, ces mots qui ne viennent pas, il se penche sur la feuille pour
donne vie à tous ces verbes qui ne se conjuguent qu’à l’imparfait. Le jour s’en
va comme mon inspiration, et dans le noir les bus et les trams grouillent et
défilent, laissant toutes ces lucioles mourantes dans mes yeux.
dimanche 15 février 2015
A la croisée des regards
Battre des cils et laisser s’envoler les oiseaux quand le ciel se fait
bas. S’évader dans nos regards d’hiver, les yeux dans le vague, quand l’image
se mêle à ces termes que l’on ose souffler. Te revoir encore et ravaler les
mots comme les sanglots. Tenir des discours muets, laisser parler les visions
vides et les cernes rougeâtres sous les orbites.
Devenir une légende, une histoire à raconter. Une poignée de sable qui
file dans le vent. Devenir un instant heureux.
Être tout cela à la fois, tirer leçon des cicatrices de nos mémoires.
Ne me laisse pas. Ne me laisse pas manquer tout ça, ne me laisse pas arriver en
retard à tous ces infimes moments de joie.
Et dans le noir, je prendrai la route, bien que mes mains tremblent
encore un peu...
dimanche 11 janvier 2015
Leitmotiv I
A l'aurore de nos vies, j'ai connu, j'ai vu de très près la mort, le suicide, la drogue et la déchirure. A fleur de peau, le coeur à nu, je n'ai appris qu'à me protéger du monde.
Quand on s'inflige la peine, qu'on souffre de l'absence d'un être qui est parti, ou qui n'est jamais venu, il ne reste aucune illusion pour tenir.
Le visage fatigué, le cœur qui n'en finit plus de se serrer, les nuits sont interminables et les cachets n'ont plus le goût de rien. Depuis trop longtemps, il n' y a que les larmes qui me montent aux yeux.
Le ciel pleure sa tristesse sur le paysage grise et délavé de ma ville. Il y fait sombre, encore et encore. L'eau sur la peau, la peau sur les os, j'ai froid et mes yeux se ferment.
Quand on s'inflige la peine, qu'on souffre de l'absence d'un être qui est parti, ou qui n'est jamais venu, il ne reste aucune illusion pour tenir.
Le visage fatigué, le cœur qui n'en finit plus de se serrer, les nuits sont interminables et les cachets n'ont plus le goût de rien. Depuis trop longtemps, il n' y a que les larmes qui me montent aux yeux.
Le ciel pleure sa tristesse sur le paysage grise et délavé de ma ville. Il y fait sombre, encore et encore. L'eau sur la peau, la peau sur les os, j'ai froid et mes yeux se ferment.
Et Comptera Toujours...
Le ciel dégagé çà et là des montagnes, le divin autant que l’infini déchiré
par les pics enneigés, tout annonce, tout dirige à une fin. Par-delà les
rochers, de l’autre côté de ces étranges vérités, aux endroits où le noir
épouse le rouge, le temps d’un soleil mourant, le chamane en transe ne danse qu’avec
les loups.
Dans les rêves de pays qui n’existent pas et les idéaux qu’on ne cesse de s’inventer,
le navire de mes envies tangue et s’échoue au bénéfice de ces quelques paradis
empruntés.
De ces territoires insoumis et vierges, je ne garderai que le souffle tiède
du repos de l’âme. Ne me regardez pas ainsi, vous qui, du haut de votre
orgueil, ne vous penchez pour contempler ne serait-ce que l’ombre d’une
démarche qu’on s’engage à suivre en
solitaire.
N’est beau que la beauté et ne manquera jamais à mes tableaux quelque
couleur qu’il soit. Qu’importe les espoirs perdus et les aventures avortées de
notre jeunesse, qu’importe les ivresses et nos soirs d’excès, seul notre chemin
a d’importance. Et comptera toujours pour moi le feu que l’on met aux poudres,
les mèches qui s’allument et se consument au fond des yeux des autres, les
distances que l’on aura faites et ces regards que l’on porte sur les routes du
passé…
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