jeudi 26 février 2009

Ecorchure Au Fond Du Palais, Ecorché Vif, Chair A Vif.

Elle lui arrache de ses mains noueuses et écorchée, éventrées ou déchirées, décidée à s’en approprier le cœur et le cacher dans l’ombre de son regard noir entre chaque coucher de soleil, incapable de savoir qui paiera les conséquences de ces sévices ou services encore brûlants dans son esprit mal imprimé où les fautes de frappe le frappent de temps en temps, le condamnant à avancer, s’évincer et tomber dans la trappe aux barreaux de fer encore rouge de sa hain et du sang, du sang, du sang, sans dessus-dessous qui coule, s’écoule et se répand par terre comme celui versé pour défendre nos terres, les terres brûlés, terre et mer, mer de turquoise qui emporte dans le son de ses flots le flic floc des larmes d’un homme qui se libère, libère-toi, en plein hiver échappe-toi du bitume qui se souille, t’envahit, qui te ronge la bite et te fouille, devant les policiers, glacés et immaculés, fixé devant le brasier qui brûle les ailes des anges et détruit nos vie à toute vitesse, vitesse, vitesse et excès, un excès de vitesse dans ta vie de pacotilles qui s’imbibe, s’impreigne et avale à pleine gorgée les souillures que tu t’injectes jours après jour, à t’en exploser les plaies, les exposer au soleil déchirant qui pourrait fendre te peau, des crevasses de chair, des lambeaux de peau.

The Last Day On Earth

Goodbye, cruel world,
I'm leaving you today.
Goodbye, goodbye, goodbye.

Goodbye all you people,
Theres nothing you can say,
To make me change my mind.
Goodbye.