dimanche 12 septembre 2010

The Seed, Part X.

Le Dieu communication
Le Dieu consommation
Mais dites-moi ici, qui manipule qui ?
Le Dieu amour n’a pas de place
C’est le Dieu hypocrite qui monopolise l’attention.

On se charge de mentir, de parler à ceux que l’on n’aime pas, de partager avec l’ennemi, de se nourrir du pain des autres. Mais à l’intérieur de nous, de notre petite graine enfouie au fond de notre cœur, quelque chose – ou quelqu’un – tient les rennes et tire les ficelles des pantins que nous sommes.

Il ne faut surtout pas prétendre être le capitaine de notre esprit voir même le maître de notre destin car tout est régit par le paraître, l’artifice et le malsain qui sommeille dans notre graine à tous. C’est dans la force de la nature, que nous naissons ainsi, pauvres pantins articulés, mus par les lois du profit et du chaos.


Bas les masques !
On se dévoîle enfin, tristes visages
démunis, à la peau fatiguée, subissant toutes les éclaboussures indélébile de la vie.
C'est par un grand moment d'honnêteté que
nous nous révélons enfin.
Le basque se brise dans sa chute et montre alors le serpent caché derrière.
Une lutte acharnée s'en suit.
La mort de l'un, la survie de l'autre, c'est à choix, mais il n'y aura aucun compromis.

L'histoire d'un couple qui s'autodétruit,
qui sort de l'ombre et après avoir fait fausse route, choisit le chemin de la pluie, acide à s'en brûler le coeur, mais sincère comme jamais.
Alors deux serpents se sont rencontrés et s'affrontent enfin...

C'est une graine assez grande, qui donne naissance à deux tiges, une est l'homme, l'autre la femme. Au bout des tiges, y'a pas de fleurs, mais un masque de théâtre représentant chaque sexe. Ils se regardent avec pas mal d'appréhension, de timidité et de confusion
Et dans cette graine, qui est éclatée et dont on voit l'intérieur
Il y a un pantin en bois, qui tient des ficelles, comme si ce couple n'était finalement qu'une marionnette, comme si c'était le pantin qui manipulait le couple
Dans la dernière graine (c'est une série qui raconte tout cette histoire), le pantin meurt, lâche les ficelles, et le couple meurt à son tour.

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