mercredi 11 novembre 2009

Brutal Art Attack

La vague fantomatique se régénère dans chacun de nos films d'horreur. Nous rêvons, éveillés, et la tumeurs qui nous ronge finit par atteindre l'esprit.

Michel Baboune finit par essuyer le yaourt nature qui coulait le long de ses lèvres entrouvertes, de la même manière qu'une femme en amour.
Il ne se doutait pas encore que le barbu hirsute allait le menacer de sa lame vengeresse et lui accomplit sauvagement un acte sexuel pénible et brutal...

Ma crise d'endorphine se perturbe dans mon lit de roses. Parfois, quand le globe flamboyant se touche dans le ciel, il fait baver les étoiles d'un épais linceul blanchâtre et révèle en nous l'extase vomissant.

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