vendredi 23 avril 2010

Et par tant de liberté moi, je me sens le coeur froid, c'est une bien triste nuit qui dépose son givre, sur mes lambeaux de rêves. Par tant de sentiers, de routes, j'ai choisi de prendre la nuit, le large qui coupe nos amarres.
Je vous le dis, au revoir.

Aucun commentaire: