jeudi 29 novembre 2007

Le vendredi était notre petite mort et notre renaissance.

Frappe-moi aussi fort que je te frappe. Détruisons nos enveloppes charnelles, libérons nos esprits.
Etrangle-moi. Laisse-moi des ématomes sur ma peau blanche. Il n'y a que la douleur physique que l'on perçoit réellement. Continue, donne-moi des coups. Fais ressortir ce surplus de violence.

Je ferai pareil.

Dans le noir du parking souterrain, minuit nous arrête.
Samedi, nous devons profiter de revivre. Pour ce que nous sommes, parce que nous sommes des hommes forts. Nous n'avons aucunement besoin de votre monde de consommation.
Il est inutile de penser que nous vous écoutons. Continuez votre chemin.

Eh, frère, on remet ça à vendredi soir. Promis, je serai là...

J'aimerai faire ce rêve, avec toi. J'aimerai juste te toucher, te dire que tu es quelque chose que je ne peux pas avoir.

Aucun commentaire: